
Ça ne s'oublie pas ?
Je ne sais pas mais pour ma part, tout est revenu très vite.
Pourtant, c'était pas gagné. Quand j'étais petite, il fallait presque couper la laine des aiguilles tellement je serrais, tirais, suais... sur mon tricot.
Les années ont dû m'apporter du calme, de la sérénité ou tout simplement de la patience (même si pour cette dernière qualité, c'est pas encore ça) car c'est devenu un réel plaisir, voir un exutoire, de tricoter (ça marche aussi pour la couture, c'est un souffle après le travail même si mon métier...
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